Avis « express » pour lectures estivales ! (Humour)

Les vacances ont été l’occasion de se plonger dans quelques lectures courtes et absolument pas prise de tête ! Au menu, une histoire inclassable complètement déjantée… et un Foenkinos en petite forme !

Présentation de l’éditeur : « Comme chaque été, Alfonse Destrooper part en villégiature à la mer du Nord. Josette, sa femme, est bien décidée à se la couler douce, entre farniente à la plage et shopping dans la station balnéaire. Les enfants, Steven et Lourdes, emportent leur caméra pour immortaliser ces vacances. Quant à la mémé, véritable Calamity Jane, elle les accompagne dans sa vieille caravane. Mais le voyage commence mal ! Un motard pique le sac de Josette à un carrefour et s’enfuit. La famille Destrooper reprend la route après une pause-pipi. À l’arrière de la voiture, les ados visionnent tranquillement leurs vidéos. Quand, soudain, ils découvrent à l’écran le cadavre du motard gisant sur le sol des toilettes du restoroute ! Les vacances en enfer ne font que commencer… »

Première incursion dans l’univers trash et déjanté de Nadine Monfils et coup de coeur ! Quelle régalade mes amis ! Tous les personnages sont décalqués du ciboulot comme je les aime. C’est improbable, complètement loufoque et j’ai adoré ! Lourdauds, cradingues, vulgaires, cette famille de timbrés a tout pour plaire ! Mention spéciale à la grand-mère, du haut calibre ! Et au serial killer qui n’est pas forcément celui que l’on croit… L’auteure s’amuse et ça se voit ! J’en redemande !

Les avis de Sandrine, Cathulu, Miss Alfie et Natiora

Les vacances d’un serial killer de Nadine Monfils

Éditions Pocket (Juin 2012)

252 p.

Présentation de l’éditeur : « Il s’appelle Bernard. Il a cinquante ans. Une femme, un enfant, un bel appartement. Et puis le voilà qui fait un petit pas de côté, et hop, sa vie bascule, il se retrouve obligé de retourner vivre chez ses parents. A cinquante ans. Est-ce qu’on peut décemment cohabiter sous le même toit que ses parents quand on a cinquante ans ? »

Un petit Foenkinos pour les vacances, ça ne peut pas faire de mal, d’autant que celui ci est vraiment très court. Autant le dire tout de suite, celui là n’a rien d’exceptionnel… L’idée de base a beau être intéressante, Foenkinos fait ici le minimum. « Tanguy » malgré lui, ce Bernard là avait quand même du potentiel. Au final, ce petit livre est sympathique, sans plus, et devrait plaire en premier lieu aux inconditionnels de l’homme aux bouclettes.

L’avis de Fleur

Bernard de David Foenkinos

Éditions du moteur (mai 2012)

82 p.

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